La Biennale Écho(s) #2 réunit deux artistes résidents à la Casa de Velázquez à près d’un siècle d’intervalle : Bilal Hamdad (né en 1987), dont les toiles réalistes, souvent de grand format, captent l’énergie urbaine en dialogue avec les maîtres espagnols, et Francis Harburger (1905-1988), peintre influencé par Goya et Velázquez, qui capture la fixité des paysages castillans dans ses œuvres, dont certaines ont été spoliées pendant la Seconde Guerre mondiale. Ensemble, ils illustrent un siècle d’évolution du regard artistique.
Joëlle ARCHES et Cécile BERTHOUMIEU avec Véronique GILLES DE LA LONDE
24/04/2025 - 6 min 15 s - Français
Table des matières
AVANT-PROPOS
Pascal Bugis, maire de Castres
Nancy Berthier, directrice de la Casa de Velázquez
INTRODUCTION
L’Espagne comme trait d’union
Joëlle Arches, conservatrice du patrimoine en chef, directrice du musée Goya, Castres
Deux regards sur l’Espagne, un siècle de création à la Casa de Velázquez
Claude Bussac, directrice des études artistiques de l’Académie de France à Madrid
FRANCIS HARBURGER (1905-1998)
La première promotion d’artistes de la Casa de Velázquez (1928-1929)
Yvan Nommick, professeur de musicologie à l’Université de Montpellier Paul-Valéry, ancien directeur des études artistiques de la Casa de Velázquez
Y a-t-il un peu d’espagne dans le langage de la peinture de Francis Harburger ?
Bruno Gaudichon, conservateur en chef honoraire du patrimoine, historien de l’art
L’atelier d’Harburger : de la spoliation aux restitutions
Sylvie Harburger, fille de l’artiste, auteure du catalogue raisonné de Francis Harburger
Œuvres
Biographie – Bibliographie sélective
BILAL HAMDAD (1987)
Ce que le temps n’épuise jamais
Numa Hambursin, directeur du MO.CO, Montpellier
Œuvres
Biographie – Bibliographie sélective
Liste des œuvres exposées
Traductions



















